Le Noir et le Bleu. Un rêve méditerranéen...

Le sommeil de la raison engendre des monstres, Francisco José de Goya y Lucientes © The British Museum, Londres, Dist. RMN-Grand Palais The Trustees of the British Museum
Le sommeil de la raison engendre des monstres, Francisco José de Goya y Lucientes © The British Museum, Londres, Dist. RMN-Grand Palais The Trustees of the British Museum
Le sommeil de la raison engendre des monstres, Francisco José de Goya y Lucientes © The British Museum, Londres, Dist. RMN-Grand Palais The Trustees of the British Museum
Mehemet-Ali, vice-roi d'Egypte (1769-1849) en 1803, Louis Charles Auguste Couder © RMN-Grand Palais (Château de Versailles) Gérard Blot
Mehemet-Ali, vice-roi d'Egypte (1769-1849) en 1803, Louis Charles Auguste Couder © RMN-Grand Palais (Château de Versailles) Gérard Blot
Masque Montserrat criant (vers 1938-1939), Julio González © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN Grand Palais Bertrand Prévost
Masque Montserrat criant (vers 1938-1939), Julio González © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN Grand Palais Bertrand Prévost

Le noir et le bleu, Goya et Miro, ombre e sole…

Les Lumières et leurs ombres, tels l’envers et l’endroit d’un même monde, qui répond à l’idée même de civilisation, née au XVIIIe siècle.

Goya en est la clef. Illuminados, homme des Lumières, il est un des rares qui aient su voir leurs ombres. Dans ses Désastres de la guerre il fait surgir « ce qui, en l’homme, aspire à le détruire » (Malraux).

Ce noir-là, sorte de basse continue, se retrouve dans tout le parcours de l’exposition.

Mais le noir appelle le bleu…

Bleu : « Ceci est la couleur de mes rêves. » Miro se retire dans son île, à Majorque, et s’immerge dans la Méditerranée. Puissance inaugurale du rêve, de l’utopie, son bleu est un symbole, une icône même de ce désir de trouver en l’homme ce qui parvient à le créer.

Un rêve méditerranéen… Rêve souvent unilatéral, projection du Nord sur le Sud, qui nous conduit à aller voir de l’autre côté du miroir ce qui se passe. Quel est le rêve de l’Autre ?

Traversée dans les imaginaires et les représentations de la Méditerranée, cette exposition est une invitation au récit et au voyage, en douze moments, parmi des nappes de temps, du xviiie siècle à nos jours.

Une invitation au rêve, qui n’oublie jamais de regarder bien en face les cauchemars de l’histoire, car « il n’est pas de document de civilisation qui ne soit en même temps un document de barbarie » (Walter Benjamin).

Coproduction : Mucem, Marseille-Provence 2013, Rmn-Grand Palais
Avec le soutien de Louis Vuitton, partenaire du Mucem et EDF, partenaire officiel de MP2013
En partenariat avec : France Info, France Bleu Provence, France 3, RFI, Radio Monte Carlo Doulaliya

Le noir et le bleu, Goya et Miro, ombre e sole…

Les Lumières et leurs ombres, tels l’envers et l’endroit d’un même monde, qui répond à l’idée même de civilisation, née au XVIIIe siècle.

Goya en est la clef. Illuminados, homme des Lumières, il est un des rares qui aient su voir leurs ombres. Dans ses Désastres de la guerre il fait surgir « ce qui, en l’homme, aspire à le détruire » (Malraux).

Ce noir-là, sorte de basse continue, se retrouve dans tout le parcours de l’exposition.

Mais le noir appelle le bleu…

Bleu : « Ceci est la couleur de mes rêves. » Miro se retire dans son île, à Majorque, et s’immerge dans la Méditerranée. Puissance inaugurale du rêve, de l’utopie, son bleu est un symbole, une icône même de ce désir de trouver en l’homme ce qui parvient à le créer.

Un rêve méditerranéen… Rêve souvent unilatéral, projection du Nord sur le Sud, qui nous conduit à aller voir de l’autre côté du miroir ce qui se passe. Quel est le rêve de l’Autre ?

Traversée dans les imaginaires et les représentations de la Méditerranée, cette exposition est une invitation au récit et au voyage, en douze moments, parmi des nappes de temps, du xviiie siècle à nos jours.

Une invitation au rêve, qui n’oublie jamais de regarder bien en face les cauchemars de l’histoire, car « il n’est pas de document de civilisation qui ne soit en même temps un document de barbarie » (Walter Benjamin).

Coproduction : Mucem, Marseille-Provence 2013, Rmn-Grand Palais
Avec le soutien de Louis Vuitton, partenaire du Mucem et EDF, partenaire officiel de MP2013
En partenariat avec : France Info, France Bleu Provence, France 3, RFI, Radio Monte Carlo Doulaliya

Le sommeil de la raison engendre des monstres, Francisco José de Goya y Lucientes © The British Museum, Londres, Dist. RMN-Grand Palais The Trustees of the British Museum
Le sommeil de la raison engendre des monstres, Francisco José de Goya y Lucientes © The British Museum, Londres, Dist. RMN-Grand Palais The Trustees of the British Museum
Mehemet-Ali, vice-roi d'Egypte (1769-1849) en 1803, Louis Charles Auguste Couder © RMN-Grand Palais (Château de Versailles) Gérard Blot
Mehemet-Ali, vice-roi d'Egypte (1769-1849) en 1803, Louis Charles Auguste Couder © RMN-Grand Palais (Château de Versailles) Gérard Blot
Masque Montserrat criant (vers 1938-1939), Julio González © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN Grand Palais Bertrand Prévost
Masque Montserrat criant (vers 1938-1939), Julio González © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN Grand Palais Bertrand Prévost