photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. La chauffe. La pièce étant tenue avec des tenailles de forge, l'artisan active son foyer au moyen du ventilateur, le soufflet est actionné à la main. L'air chassé dans une pièce de fonte, la tuyère, percée de trous, arrive sous le charbon. Le fer arrivera peut-être travaillé au rouge vif ou au rouge blanc. Ces teintes ne peuvent être dépassées car on arriverait au "blanc ressuant", 1500° C, et le fer coulerait

Ph.1943.11.136

Description

Photographies

France

01/12/1942

Editions Nouvelles pour l'enseignement

Monsieur Segretin, maître serrurier. La chauffe. La pièce étant tenue avec des tenailles de forge, l'artisan active son foyer au moyen du ventilateur, le soufflet est actionné à la main. L'air chassé dans une pièce de fonte, la tuyère, percée de trous, arrive sous le charbon. Le fer arrivera peut-être travaillé au rouge vif ou au rouge blanc. Ces teintes ne peuvent être dépassées car on arriverait au "blanc ressuant", 1500° C, et le fer coulerait

Retour aux résultats de la recherche

Vous pourriez aussi être intéressé(e) par

photographie - Maison Margerie. Tapissier. Matières premières. 1-Peau de mouton. 2-Sangle de jute. 3-Corde de chanvre. 4-Crin animal. 5-Crin végétal. 6-Ressorts
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Soudure. Le montage de la charpente est commencé. Le soudeur manœuvre son chalumeau oxyacétylénique sur les parties à souder. Le métal se met à fondre et l'artisan, au moyen d'une baguette de métal d'apport, comble les joints des deux pièces qui bientôt ne forment plus qu'un bloc solidaire
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Perçage de précision. Une perceuse présente au bout d'un arbre rotatif un mandrin, porteur de forêts de dimensions appropriées. Ces forêts en tournant couperont le métal. L'artisan manœuvre une manivelle qui commande la descente progressive du mandrin
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Perçage des tôles. Une poinçonneuse porte dans la partie haute un poinçon de forme ronde qui s'ajuste dans une matrice de la partie basse. L'artisan surveille l'exactitude de son travail. Il manœuvrera le levier qui fera descendre le poinçon dans la matrice en perforant la tôle qui était interposée
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Rectification d'une coupe. La meule qui normalement permet un polissage, est employée ici pour la rectification et l'ajustage d'une coupe. Remarquer le carter de protection en cas d'éclatement de la meule. Celle-ci tourne en effet très vite et la matière entrant dans sa composition est très friable. L'ouvrier devrait même avoir des lunettes de protection en verres blancs contre les grains
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Débitage du fer. Certaines coupes ne peuvent être faites à la scie ou à la cisaille. On a recours au chalumeau coupeur. Noter pour l'emploi de ce chalumeau oxyacétylénique que l'artisan se protège les yeux contre les éclats et contre la violence de la flamme à l'aide de lunettes spéciales en verres teintés noirs ou bleus
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Débitage du fer. La précision est nécessaire, la coupe sera donc plus juste car elle est définitive. La scie mécanique alternative coupe à la dimension voulue
photographie - Monsieur Segretin, maître serrurier. Débitage des tôles. Au moyen d'une cisaille à balancier, l'artisan découpe les tôles qui sont nécessaires pour les plaques de raccord : goussets, semelles, dans la charpente. Naturellement, la plaque a été tracée parallèlement à la pointe à tracer