Livre - Études historiques, morales et statistiques sur l'horlogerie en Franche-Comté

EN FORME D'AVANT-PROPOS, p. 1 PREMIÈRE PARTIE. DE L'HORLOGERIE EN FRANCHE-COMTÉ JUSQU'EN 1813. I. Un mot sur l'origine de l'horlogerie, p. 7 II. Comment on songea à créer une fabrique d'horlogerie en France, p. 12 III. Mémoire de Megevand, p. 16 IV. Pourparlers entre la République et les artistes, p. 27 V. Arrêtés constitutifs de l'horlogerie, p. 31 VI. Composition de la manufacture, p. 42 VII. Commission administrative, p. 46 PREMIÈRE AGENCE, p. 50 VIII. Arrêté du 13 prairial an II, p. 50 IX. Arrêtés qui favorisent l'accroissement de la manufacture, p. 58 X. Comment la première agence comprit la question d'apprentissage, p. 61 XI. Rapport de Boissy d'Anglas, p. 66 XII. Première agence ; son administration. – Disette de l'an II ; secours fournis par la Convention ; mission de Calés. – Moulin à lavures. – Chute de l'agence, p. 75 SECONDE AGENCE, p. 93 XIII. Premiers symptômes de décadence de la manufacture. – Efforts des agents pour s'y opposer. – Mission de Costaz. – Loi sur les apprentissages. – Suppression de l'agence, p. 93 TROISIÈME AGENCE, p. 108 XIV. Charles comme agent ; ses capacités ; il s'occupe des apprentissages. – La décadence de la manufacture continue. – Suppression de l'agence, p. 108 XV. De l'horlogerie sous la direction de l'administration centrale, du 9 nivôse an vi jusqu'au 13 thermidor an XIII, et de cette époque à 1813, p. 121 LES ARTISTES ET LES ENTREPRENEURS, p. 130 XVI. Megevand. – Diverses appréciations portées sur lui. – Difficultés de son entreprise. – Concessions que lui fait la République. – Méfiance des artistes à son égard. – Premiers symptômes de sa ruine. – Conseils qu'il reçoit de Briot. – Après avoir agioté sur les fonds publics, il achète des biens nationaux. – Le séquestre est mis sur ses biens. – Rapport de Vernerey. – Réponse de Megevand. – Second Mémoire de ce dernier au ministre. – Rapport de Perriguez. – Réponse de Megevand. – Arrêté consulaire de l'an IX. – Causes de la ruine de Megevand. – Dernières tentatives de cet entrepreneur pour se relever. – Sa fin tragique. – Ce qu'il faut penser de Megevand, p. 130 XVII. Auzières. – Arrêté qui crée à Besançon l'horlogerie finie. – Concessions faites à Auzières. – Il se pose en rival de Megevand. – Il achète le couvent des Bénédictins et néglige l'horlogerie pour le commerce des biens nationaux. – Nombreuses dénonciations contre Auzières. – Réponses qu'il y fait. – Rapport de l'administration centrale sur sa position. – Il meurt. – Son fils lui succède ; il est exproprié. – Cause de la ruine de l'entrepreneur d'horlogerie finie. – Megevand et Auzières, p. 166 XVIII. Les artistes. – Comment ils se recrutèrent. – Leur conduite, leur moralité, leurs tendances. – Quels furent ceux qui restèrent en France, p. 185 XIX. Décadence de la manufacture. – Ses causes, p. 196 SECONDE PARTIE. DE L'HORLOGERIE EN FRANCHE-COMTÉ DE 1813 À 1836. XX. Quels furent les actes administratifs relatifs à l'horlogerie, de 1813 à 1836, p. 201 XXI. De l'horlogerie à Besançon, de 1813 à 1836, p. 211 XXII. De l'horlogerie, de 1813 à 1836, dans les arrondissements de Montbéliard et de Pontarlier, et quelques mots sur Badevel, Seloncourt, Montécheroux, Hérimoncourt et sur l'établissement de M. Vincenti, p. 218 TROISIÈME PARTIE. DE L'HORLOGERIE EN FRANCHE-COMTÉ DE 1836 À 1859. XXIII. De l'horlogerie à Besançon. – Œuvre de Saint-Joseph. – Mémoire présenté en 1848 par les horlogers à l'Assemblée constituante. – Horlogerie de pacotille, p. 229 XXIV. De l'horlogerie dans les arrondissements de Montbéliard et de Pontarlier, de 1836 à 1859. – De l'horlogerie dans le Jura, p. 254 QUATRIÈME PARTIE. XXV. De l'horlogerie considérée au point de vue de l'économie politique. – De l'horlogerie sous le rapport du développement des intérêts matériels, p. 263 XXVI. De l'horlogerie dans ses rapports avec les intérêts moraux, p. 287 XXVII. De l'influence de l'éducation sur l'horlogerie. – De l'instruction primaire. – Des apprentissages. – De l'éducation commerciale et du commerce de l'horlogerie, p. 301 XXVIII. Des écoles d'horlogerie. – Morteau. – Morez, p. 313 XXIX. Situation commerciale de l'horlogerie en 1860 ; son avenir ; ses besoins, p. 327 Conclusion, p. 341 TABLE DES MATIÈRES, p.345