Livre - Les arts de la piste

SOMMAIRE, III AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 8 juillet 1998, p. 1 I – LE CONSTAT, p. 5 A – DES ATOUTS INDÉNIABLES, p. 5 1. Un public nombreux et en développement, p. 5 2. Une école supérieure de prestige, un foisonnement d’écoles de loisirs, p. 5 3. Un dynamisme artistique évident, p. 5 4. Des pouvoirs publics attentifs au développement du cirque, p. 5 B – DES FRAGILITÉS NOMBREUSES, p. 6 1. Un secteur mal connu, p. 6 2. Des relations avec les pouvoirs publics à consolider, p. 6 3. Des entreprises économiquement fragiles, p. 6 4. Une profession peu organisée, p. 6 5. Des règlements multiples, peu ou mal appliqués, p. 7 II – LES PROPOSITIONS, p. 7 1. Améliorer la lisibilité du secteur, p. 7 2. Professionnaliser les entreprises, p. 8 3. Adopter une déontologie professionnelle, p. 8 4. Respecter et améliorer le droit social, p. 9 5. Adapter les autres réglementations si nécessaire, p. 11 6. Impliquer davantage les collectivités locales, p. 12 7. Protéger les animaux, p. 13 8. Ouvrir et coordonner les réseaux de diffusion, p. 14 9. Mieux utiliser la télévision, p. 14 10. Doter la profession d’une structure d’appui rénovée, p. 15 11. Organiser une filière de formation professionnelle et réglementer les écoles de loisir, p. 16 12. Conforter les missions d’Hors les Murs, p. 17 13. Supprimer le Conseil national des arts de la piste, p. 18 ANNEXE A L’AVIS, p. 20 SCRUTIN, p. 20 DÉCLARATIONS DES GROUPES, p. 22 RAPPORT présenté au nom de la section du cadre de vie par M. Dominique FORETTE, rapporteur, p. 1 INTRODUCTION, p. 5 CHAPITRE I QUELQUES REPÈRES HISTORIQUES, p. 7 I – L’HÉRITAGE ANTIQUE, p. 7 II – LE DÉBUT DE L’ITINÉRANCE, p. 8 III – PHILIP ASTLEY ET LE CIRQUE MODERNE, p. 8 IV – AU DÉBUT DE CE SIÈCLE, p. 9 V – À PARTIR DES ANNÉES 1970, p. 10 VI – LES PRÉCURSEURS, p. 10 VII – AILLEURS, p. 12 VIII – LA TRANSMISSION DU SAVOIR, p. 13 IX – LE RENOUVELLEMENT ARTISTIQUE, p. 14 CHAPITRE II LA CRISE DES ANNÉES 70 ET LE RENOUVEAU DU CIRQUE, p. 17 I – UN PUBLIC NOMBREUX, UNE ÉCONOMIE FRAGILE, p. 17 A – QUI VA AU CIRQUE ?, p. 18 B – DES FESTIVALS NOMBREUX, p. 21 C – QUELLE IMAGE A-T-ON DU CIRQUE, p. 21 D – UN SECTEUR OPAQUE, DES DONNÉES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES PEU FIABLES, p. 28 II – DES DIFFICULTÉS QUI METTENT EN PÉRIL LA COHÉSION DU SECTEUR, p. 33 A – DES MODES DE FONCTIONNEMENT DIVERSIFIÉS, p. 33 B – LES DÉRIVES CONSTATÉES, p. 37 1. Les abus de concurrence : la contrecarre, p. 37 2. Un appauvrissement de la qualité, p. 38 C – DES RÈGLEMENTS MULTIPLES À RESPECTER, p. 39 1. Apprentissage et travail des enfants, p. 40 2. En matière de sécurité, p. 40 3. En matière de droit du travail et de droit social, p. 42 4. Le travail et le transport des animaux, p. 43 D – LES RELATIONS AVEC LES COLLECTIVITÉS LOCALES, p. 43 E – L’ÉMERGENCE DE NOUVELLES FORMES ARTISTIQUES : LE CIRQUE CONTEMPORAIN, RUPTURE OU CONTINUITÉ ?, p. 44 1. Un divorce esthétique, p. 45 2. Des circuits différents, p. 46 F – LA TÉLÉVISION, SOURCE DE DIFFICULTÉ OU INSTRUMENT DE PROMOTION DU CIRQUE ?, p. 48 CHAPITRE III UNE IMPLICATION GRANDISSANTE DES POUVOIRS PUBLICS, p. 49 I – HISTORIQUE, p. 50 A – L’ASSOCIATION POUR LA MODERNISATION DU CIRQUE (MAI 1979 – MAI 1982), p. 51 B – L’ASSOCIATION POUR L’ENSEIGNEMENT DES ARTS DU CIRQUE – APEAC (AOÛT 1980 – JUIN 1982), p. 52 C – COMMISSION CONSULTATIVE SUR LES ARTS DU CIRQUE (DÉCEMBRE 1982 – ?), p. 52 D – L’ASSOCIATION POUR LE SOUTIEN, LA PROMOTION ET L’ENSEIGNEMENT DU CIRQUE – ASPEC (JUIN 1982 – NOVEMBRE 1987) SUIVIE DE L’ASSOCIATION NATIONALE POUR LE DÉVELOPPEMENT DES ARTS DU CIRQUE – ANDAC (NOVEMBRE 1987 – EN SOMMEIL DEPUIS 1994), p. 53 II – ENSEIGNEMENT ET FORMATION, p. 55 A – LE CENTRE NATIONAL DES ARTS DU CIRQUE (CNAC), p. 55 B – LES ÉCOLES DE CIRQUE DITES DE LOISIR ; LA FÉDÉRATION FRANÇAISE DES ÉCOLES DE CIRQUE (FFEC), p. 59 III – Subvention 1997, p. 62 IV – LES DISPOSITIFS RÉCENTS, p. 63 A – LE CONSEIL NATIONAL DES ARTS DE LA PISTE, p. 63 B – LES SOUTIENS FINANCIERS AUX STRUCTURES, p. 64 C – LA PROMOTION ET LA DIFFUSION, p. 65 1. L’association Hors les Murs, p. 65 2. L’association française d’action artistique (AFAA), p. 66 3. L’office national de diffusion artistique (ONDA), p. 67 CHAPITRE IV COMMENT SE PORTE LE CIRQUE À L’ÉTRANGER ? QUELQUES EXEMPLES SIGNIFICATIFS, p. 69 I – LE QUÉBEC, p. 69 A – LES MINISTÈRES DE L’ÉDUCATION ET CELUI DE LA CULTURE ET DES COMMUNICATIONS, p. 70 B – L’ÉCOLE NATIONALE DE CIRQUE, p. 71 C – LE CIRQUE DU SOLEIL, p. 72 D – LE CIRQUE ÉLOIZE, p. 75 E – EN PISTE, p. 76 II – LES ÉTATS-UNIS D’AMÉRIQUE, p. 77 III – L’ALLEMAGNE, p. 79 IV – L’ITALIE, p. 80 V – LA SUISSE, p. 80 Conclusion, p. 83 TABLE DES SIGLES, p. 87 LISTE DES ILLUSTRATIONS, p. 88 ANNEXE, p. 89 Annexe 1 :, p. 91