Livre - Le retour du prince

PREMIÈRE PARTIE. LE PRINCE ET LE DÉCLIN ITALIEN Pouvoir et mensonge , p. 23 – Une oligarchie déguisée en démocratie , p. 29 – L’obscénité du pouvoir, p. 41 – Mariages d’intérêts et manipulation, p. 48 – de la démocratie, p. 48 – La « banalité du mal » italien, p. 51 – Classes dirigeantes et criminalité :, p. 55 – l’anomalie italienne, p. 55 – le Prince dans l’histoire nationale, p. 61 – La néo-féodalité italienne, p. 73 – La parenthèse libérale et la révolution de la constituante, p. 79 – La méthode mafieuse comme méthode nationale 95 – La force du Prince, p. 111 – La peste, p. 1, p. 20 DEUXIÈME PARTIE. LE PRINCE ET LA CORRUPTION ÉTERNELLE Avant-propos, p. 125 – Le premier grand scandale : la Banque Romaine, p. 126 – La corruption sous le fascisme, p. 133 – Démocratiser la corruption, p. 136 – Le code culturel de la corruption, p. 143 – La société du chantage, p. 150 – La fin du communisme et les milliards de Bruxelles, p. 157 – Conclusion. Vers une démocratie, p. 169 – de la corruption ?, p. 169 TROISIÈME PARTIE. LE PRINCE ET L’ÉTERNELLE MAFIA Les secrets, p. 181 – Les impostures, p. 186 – Aux origines : la mafia comme affaire de famille de la classe dirigeante, p. 192 – Le premier homicide politique mafieux de renom, p. 204 – Mafia et fascisme : le Prince devient État, p. 210 – Avènement de la République et massacre de Portella della Ginestra. Le Prince inaugure la stratégie de la tension, p. 212 – La puissance géométrique de la bourgeoisie mafieuse, p. 223 – La tuerie des années, p. 1980. Giulio Andreotti et l’homicide de Piersanti Mattarella , p. 227 – L’homicide de Carlo Alberto Dalla Chiesa : une mort annoncée , p. 230 – Franc-maçonnerie déviée et mafia , p. 239 – Le massacre de Via Pipitone Federico et l’homicide de Rocco Chinnici , p. 244 – Société civile et détournement d’enquêtes , p. 246 – Leonardo Sciascia et l’impossible vérité , p. 249 – Naissance et mort du pool anti-mafia , p. 251 – Le capitalisme mondial de Cosa Nostra , p. 256 – La révolution corléonaise et la crise de la bourgeoisie mafieuse , p. 260 – Le nouveau système de partage des marchés publics , p. 264 – Les élections de 1987 et la « leçon » à la Démocratie chrétienne , p. 268 – L’orlandisme et la tentative de revanche de la classe dirigeante , p. 270 – La chute du mur de Berlin, p. 272 – et le début de la fin de la parenthèse corléonaise, p.272 – 1992 : la sentence de la cassation sur le maxi-procès et la révolte de la composante populaire de Cosa Nostra , p. 275 – Les années de la terreur de la bourgeoisie mafieuse. L’homicide du « vice-roi » et la punition des « traîtres », p. 281 – La négociation et la stratégie de la terreur, p. 282 – La rescousse de l’État, p. 291 – Le retour à l’« ordre », p. 294 – La restauration de la bourgeoisie mafieuse, p. 304 – Le besoin de mafia, p. 314 – Perspectives pour le troisième millénaire : les mafias comme modèle criminel gagnant, p. 317 – Les systèmes criminels, p. 323