vielle à roue

table en acajou, ou fruitier ( vernis rouge foncé); érable sycomore : clavier, roue, chevillier, éclisses jaunes palissandre (?) : éclisses foncées Os : touches blanches, clous du cordier (bombés), butée du couvercle de roue, cheville de réglage du chevalet mobile. Ebène : couvercle de clavier, cordier, touches noires, chevilles, un morceau de la poignée de manivelle, décor de bordure alterné avec fleurs de nacre découpées. Ivoire pour les boutons de courroie. Métal : "S" et axe de la roue. Boyau : quatre cordes + deux filées Chaterton ou sparadrap collé sur les éclisses en bordure / Vielle à roue en corps de luth à clavier chromatique composé de vingt-trois touches ; diapason : 348 mm ; l'instrument est monté à deux chanterelles mais les touches n'ont qu'un sautereau. Certaines touches sont munies de renforts (?) découpés . Les touches sont placées en biais dans la boîte à clavier. Chevillier orné d'une sculpture de tête d'homme barbu à cheveux longs, l'ensemble du chevillier est teinté en rouge orangé mais la tête est sans couleur, le blanc des yeux est coloré en blanc ; le chevillier est aussi décoré de motifs sculptés : coquilles, écailles aux angles, cartouche au socle. Table en bois dur teinté rouge. Emplacement prévu pour le chevalet mobile de la trompette. Les joues du chevillier sont poinçonnées de cinq poinçons différents. La décoration en bordure de table ne semble pas être de Pajot, ni de Nigout ; elle est constituée de gros filets d'os, de filets nacre/ébène/os ; et surtout d'une grosse bordure de fleurs de nacre marquetées, gravées et colorées. Décoration vers la marque au fer constituée de personnages romantiques transférés d'un support imprimé . Les éclisses sont garnies de filets. Quatre cordes sympathiques.