Livre - Oeuvres françoises de Bonaventure Des Périers

1C BLT 22(2)

Description

Livre

A. Franck

Des Périers Bonaventure 15..? - 1543

La Pijardière Louis Lacour de 1832 - 1892

Presentation materielle : XXXII, 396 p.

Dimensions : 17 cm

Préface, V Table des matières, XIX PREMIÈRE PARTIE : REPRODUCTION DE L’ÉDITION ORIGINALE DE 1558 Extrait du privilège, p. 2 L’imprimeur au lecteur, p. 3 Sonnet, p. 5 Première Nouvelle, en forme de preambule, p. 7 Nouvelle II. – Des troys folz Caillette, Triboulet et Polite, p. 14 Nouvelle III. – Du chantre bassecontre de Sainct-Hilaire de Poytiers, qui accompara les chanoines à leurs potages, p. 18 Nouvelle IV. – Du bassecontre de Reims, chantre, Picard et maistre ès ars, p. 22 Nouvelle V. – Des trois soeurs nouvelles espousées qui respondirent chacune un bon mot à leur mary la première nuict de leurs nopces, p. 25 Nouvelle VI. – Du mary de Picardie qui retira sa femme de l’amour par une remonstrance qu’il luy fit en la presence des parens d’elle, p. 33 Nouvelle VII. – Du Normand allant à Romme, qui fit provision de latin pour porter au Sainct-Père, et comme il s’en ayda, p. 38 Nouvelle VIII. – Du procureur qui fit venir une jeune garse du village pour s’en servir, et de son clerc qui la luy essaya, p. 42 Nouvelle IX. – De celuy qui acheva l’oreille de l’enfant à la femme de son voisin, p. 46 Nouvelle X. – De Fouquet, qui fit accroire au procureur en Chastelet, son maistre, que le bonhomme estoit sourd, et au bonhomme que le procureur l’estoit, et comment le procureur se vengea de Fouquet, p. 50 Nouvelle XI. – D’un docteur en decret qu’un beuf blessa si fort qu’il ne sçavoit en quelle jambe c’estoit, p. 54 Nouvelle XII. – Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portoit une potée de lait au marché, p. 57 Nouvelle XIII. – Du roy Salomon, qui fit la pierre philosophale, et la cause pourquoy les alquemistes ne viennent au dessus de leurs intentions, p. 58 Nouvelle XIV. – De l’advocat qui parloit latin à sa chambrière, et du clerc qui estoit le truchement, p. 65 Nouvelle XV. – Du cardinal de Luxembourg et de la bonne femme qui vouloit faire son filz prebstre, qui n’avoit point de tesmoings, et comment ledict cardinal se nomma Philippot, p. 71 Nouvelle XVI. – De l’enfant de Paris nouvellement marié, et de Beaufort, qui trouva moyen de jouir sa femme nonobstant la songneuse garde de dame Pernette, p. 75 Nouvelle XVII. – De l’advocat en parlement qui fit abbatre sa barbe pour la pareille, et du disner qu’il donna à ses amys.84 Nouvelle XVIII. – De Gillet le menuzier: comment il se vengea du levrier qui luy venoit manger son disner.88 Nouvelle XIX. – Du savetier Blondeau, qui ne fut oncq en sa vie melacholique que deux fois, et comment il y pourveut, et de son epitaphe.91 Nouvelle XX. – De trois frères qui cuidèrent estre pendus pour leur latin.94 Nouvelle XXI. – Du jeune filz qui fit valoir le beau latin que son curé lui avoit monstré.95 Nouvelle XXII. – D’un prebstre qui ne disoit aultre mot que JESUS en son Evangile.99 Nouvelle XXIII. – De maistre Pierre Fai-feu, qui eut des bottes qui ne lui coustèrent rien, et des copieux de la Flèche en Anjou, p. 102 Nouvelle XXIV. – De maistre Arnaud, qui emmena la haquenée d’un Italien en Lorraine, et la rendit au bout de neuf mois, p. 108 Nouvelle XXV. – Du conseiller et de son pallefrenier, qui luy rendit sa mule vieille en guise d’une jeune113 Nouvelle XXVI. – Des copieux de la Flèche en Anjou: comme ilz furent trompez par Piquet au moyen d’une lamproye, p. 115 Nouvelle XXVII. – De l’asne umbrageux qui avoit peur quand on ostoit le bonnet, et de Sainct-Chelaut et Croisé, qui chaussèrent les chausses l’un de l’aultre, p. 119 Nouvelle XXVIII. – Du prevost Coquillaire, malade des yeux, auquel les médecins faisoient accroitre qu’il voyoit, p. 125 Nouvelle XXIX. – Des finesses et actes memorables d’un regnard qui estoit au bailly de Maine-la-Juhés, p. 127 Nouvelle XXX. – De maistre Jehan du Pont-Alais: comment il la bailla bonne au barbier d’estuves, qui faisoit le brave, p. 133 Nouvelle XXXI. – De madame la Fourrière, qui logea le gentilhomme au large, p. 139 Nouvelle XXXII. – Du gentilhomme qui avoit couru la poste et du coq qui ne pouvoit chaucher, p. 142 Nouvelle XXXIII. – Du curé de Brou et des bons tours qu’il faisoit en son vivant, p. 144 Nouvelle XXXIV. – Du mesme curé et de sa chambrière, et de sa laiscive qu’il lavoit, et comment il traicta son evesque, et ses chevaulx, et tout son train, p. 147 Nouvelle XXXV. – Du mesme curé et de la carpe qu’il achepta pour son disner, p. 152 Nouvelle XXXVI. – Du mesme curé qui excommunia tous ceux qui estoient dedans un trou, p. 154 Nouvelle XXXVII. – De Teiran, qui, estant sur sa mule, ne paroissoit point par dessus l’arçon de la selle, p. 156 Nouvelle XXXVIII. – Du docteur qui blasmoit les danses et de la dame qui les soustenoit, et des raisons alleguées d’une part et d’aultre, p. 158 Nouvelle XXXIX. – De l’Escossois et sa femme, qui estoit un peu trop habile au maniement, p. 161 Nouvelle XL. – Du prebstre et du masson qui se confessoit à luy, p. 164 Nouvelle XLI. – Du gentilhomme qui crioit la nuict après ses oiseaux et du chartier qui fouettoit ses chevaux, p. 167 Nouvelle XLII. – De la bonne femme vefve qui avoit une requeste à presenter et la bailla au conseiller lay pour la rapporter, p. 171 Nouvelle XLIII. – De la jeune fille qui ne vouloit point d’un mary pour ce qu’il avoit mangé le doz de sa première femme, p. 173 Nouvelle XLIV. – Du bastard d’un grand seigneur qui se lassoit prendre à credit et qui se faschoit qu’on le sauvast, p. 174 Nouvelle XLV. – Du sieur de Raschault, qui alloit tirer du vin, et comment le fausset lui eschappa dedans la pinte, p. 177 Nouvelle XLVI. – Du tailleur qui se desroboit soy-mesme, et du drap gris qu’il rendit à son compère le chaussetier, p. 181 Nouvelle XLVII. – De l’abbé de Saint-Ambroise et de ses moines, et d’autres rencontres dudict abbé, p. 184 Nouvelle XLVIII. – De celuy qui renvoya ledit abbé avec une responce de nez, p. 188 Nouvelle XLIX. – De Chichouan, tabourineur, qui fit adjourner son beau-père pour se laisser mourir, et de la sentence qu’en donna le juge, p. 191 Nouvelle L. – Du Gascon qui donna à son père à choisir des oeufs, p. 195 Nouvelle LI. – Du clerc des finances qui laissa cheoir deux detz de son escriptoire devant le roy, p. 196 Nouvelle LII. – De deux pointz pour faire taire une femme, p. 198 Nouvelle LIII. – La manière de devenir riche, p. 199 Nouvelle LIV. – D’une dame d’Orleans qui aymoit un escolier qui faisoit le petit chien à sa porte, et comment le grand chien chassa le petit, p. 200 Nouvelle LV. – De Vaudrey et des tours qu’ils faisoit, p. 202 Nouvelle LVI. – Du gentilhomme qui coupa l’oreille à un coupeur de bourses, p. 204 Nouvelle LVII. – De la damoiselle de Thoulouse qui ne souppoit plus, et de celuy qui faisoit la diette, p. 205 Nouvelle LVIII. – Du moyne qui respondoit tout par monosyllabes rymez, p. 207 Nouvelle LIX. – De l’escolier legiste et de l’apotiquaire qui luy apprint la medecine, p. 208 Nouvelle LX. – De messire Jehan, qui monta sur le mareschal pensant monter sur sa femme, p. 214 Nouvelle LXI. – De la sentence que donna le prevost de Bretaigne, lequel fit pendre Jehan Trubert et son filz, p. 217 Nouvelle LXII. – Du jeune garson qui se nomma Thoinette pour estre receu à une religion de nonnains, et comment il fit sauter les lunettes de l’abbesse qui le visitoit, p. 220 Nouvelle LXIII. – Du regent qui combatit une harangère du Petit-Pont à belles injures, p. 223 Nouvelle LXIV. – De l’enfant de Paris qui fit le fol pour jouir de la jeune vesve, et comment elle, se voulant railler de luy, receut une plus grande honte, p. 228 Nouvelle LXV. – De l’escolier d’Avignon et de la vieille qui le print à partie, p. 235 Nouvelle LXVI. – D’un juge d’Aigues-Mortes, d’un Pasquin et du concile de Latran, p. 236 Nouvelle LXVII. – Des gensdarmes qui estoient chez la bonne femme de village, p. 239 Nouvelle LXVIII. – De maistre Berthaud, à qui on fit accroire qu’il estoit mort, p. 241 Nouvelle LXIX. – Du Poytevin qui enseigne le chemin aux passans, p. 244 Nouvelle LXX. – Du Poytevin et du sergent qui mit sa charette et ses beufs en la main du roy, p. 247 Nouvelle LXXI. – D’un aultre Poytevin, et de son filz Micha, p. 248 Nouvelle LXXII. – Du gentilhomme de Beausse et de son disner, p. 250 Nouvelle LXXIII. – Du prebstre qui mangea à desjeuner toute la pitance des religieux de Beau-Lieu, p. 252 Nouvelle LXXIV. – De Jehan Doingé, qui tourna son nom par le commandement de son père, p. 256 Nouvelle LXXV. – De Janin, nouvellement marié, p. 259 Nouvelle LXXVI. – Du lestige qui se voulut exercer à lire, et de la harangue qu’il fit à sa première lecture, p. 260 Nouvelle LXXVII. – Du bon yvrogne Janicot et de Jeannette sa femme, p. 262 Nouvelle LXXVIII. – D’un gentilhomme qui mit sa langue en la bouche d’une damoyselle en la baisant, p. 267 Nouvelle LXXIX. – Des coupeurs de bourses et du curé qui avoit vendu son blé, p. 270 Nouvelle LXXX. – Des mesmes coupeurs de bourse et du prevost la Voulte, p. 273 Nouvelle LXXXI. – D’eux-mesmes encores, et du coultelier à qui fut couppé la bourse, p. 276 Nouvelle LXXXII. – Du bandoulier Cambaire et de la response qu’il fit à la court de Parlement, p. 279 Nouvelle LXXXIII. – De l’honnesteté de monsieur Salzard, p. 281 Nouvelle LXXXIV. – De deux escolliers qui emportèrent les cizeaux du tailleur, p. 282 Nouvelle LXXXV. – Du cordelier qui tenoit l’eau auprès de soy à table et n’en beuvoit point, p. 284 Nouvelle LXXXVI. – D’une dame qui faisoit garder les coqs sans cognoissance de poulles, p. 285 Nouvelle LXXXVII. – De la pie et de ses piaux, p. 288 Nouvelle LXXXVIII. – Du singe d’un abbé, qu’un Italien entreprint de faire parler, p. 289 Nouvelle LXXXIX. – Du singe qui beut la medecine, p. 294 Nouvelle XC. – De l’invention d’un mary pour se venger de sa femme, p. 296 Sonnet, p. 302 DEUXIÈME PARTIE : LES NOUVELLES RECRÉATIONS ET JOYEUX DÉSIR ATTRIBUES À BONAVENTURE DES PERIERS DANS LES ÉDITIONS POSTÉRIEURES À 1558 Nouvelle XCI. – De l’assignation donnée par messire Itace, curé de Baignolet, à une belle vendeuse de naveaux, et de ce qui en advint, p. 305 Nouvelle XCII. – Des moyens qu’un plaisantin donna à son roy de recouvrer argent promptement, p. 309 Nouvelle XCIII. – D’un larron qui eut envie de desrober la vache de son voisin, p. 311 Nouvelle XCIV. – D’un pauvre homme de village qui trouva son asne, qu’il avoit esgaré, par le moyen d’un clistaire qu’un médecin luy avoit baillé, p. 313 Nouvelle XCV. – D’un superstitieux medecin qui ne vouloit rire avec sa femme sinon quand il plouvoit, et de la bonne fortune de ladicte femme après son trespas, p. 315 Nouvelle XCVI. – D’un bon compaignon hollandois qui fit courir après luy un cordouannier qui luy avoit chaussé des bottines, p. 317 Nouvelle XCVII. – De l’escolier qui fueilleta tous ses livres pour sçavoir que signifioient ramon, ramonner, hart, sur peine de la hart, etc, p. 319 Nouvelle XCVIII. – De Triboulet, fol du roy Françoys premier, et de ses facetieux actes, p. 320 Nouvelle XCIX. – Des deux playdans qui furent plumez à propos par leur advocats, p. 322 Nouvelle C. – Des joyeux propos que tenoit celuy qu’on menoit pendre au gibbet de Montfaulcon, p. 324 Nouvelle CI. – Du souhait que feit un certain conseiller du roy Françoys premier, p. 326 Nouvelle CII. – De l’escolier qui devint amoureux de son hostesse, et comment ilz finèrent leurs amours, p. 327 Nouvelle CIII. – Du curé qui se coleroit en sa chaire de ce que ses semblables ne faisoyent le debvoir comme luy de prescher leurs paroissiens, p. 332 Nouvelle CIV. – D’un tour de Villon joué dextrement par un Italien à un François estant à Venise, p. 333 Nouvelle CV. – Des facetieuses rencontres et façons de faire d’un Hybernois pour avoir sa vie en tous païs, p. 335 Nouvelle CVI. – Des moyens dont usa un medecin afin d’estre payé d’un abbé malade, lequel il avoit pansé, p. 341 Nouvelle CVII. – De l’apprenty larron qui fut pendu pour avoir trop parlé, p. 342 Nouvelle CVIII. – De celuy qui se laissa pendre sous ombre de devotion, p. 343 Nouvelle CIX. – D’un curé qui n’employa que l’autorité de son cheval pour confondre ceux qui nyent le purgatoire, p. 345 Nouvelle CX. – Du bastelleur qui gagea contre un duc de Ferrare qu’il y avoit plus grand nombre de medecins en sa ville que d’autres gens, et comment il fut payé de sa gageure, p. 347 Nouvelle CXI. – Des tourdions jouez par deux compaignons larrons qui depuis furent penduz et estranglez, p. 349 Nouvelle CXII. – D’un gentilhomme qui foueta deux cordeliers pour son plaisir, p. 352 Nouvelle CXIII. – Du curé d’Onzain, près d’Amboyse, qui se feit chastrer à la persuasion de son hostesse, p. 354 Nouvelle CXIV. – D’une finesse dont usa une jeune femme d’Orleans pour attirer à sa cordelle un jeune escolier qui lui plaisoit, p. 355 Nouvelle CXV. – La manière de faire taire et dancer les femmes lorsque leur avertin les prend, p. 357 Nouvelle CXVI. – De celluy qui s’ingera de servir de truchement aux ambassadeurs du roy d’Angleterre, et comment s’en acquitta, avec grande honte qu’il y receut, p. 359 Nouvelle CXVII. – Des menuz propos que tient un curé au feu roy de France Henry deuxiesme de ce nom, p. 360 Nouvelle CXVIII. – De celuy qui presta argent sur un gaige qui estoit à luy, et comment il en fut mocqué, p. 361 Nouvelle CXIX. – De la cautelle dont usa un jeune garson pour estranger plusieurs moynes qui logeoient en une hostellerie, p. 363 Nouvelle CXX. – Du larron qui fut apperceu fouillant en la gibbecière du feu cardinal de Lorraine, et comment il eschappa, p. 365 Nouvelle CXXI. – Du moyen dont usa un gentilhomme italien afin de n’entrer au combat qui luy avoit assigné, et de la comparaison que fit un Picard des François aux Italiens, p. 367 Nouvelle CXXII. – De celuy qui paya son hoste en chansons, p. 368 Nouvelle CXXIII. – Du procès meu entre une belle-mère et son gendre pour n’avoir depucelé sa fille le premier jour de ses nopces, p. 370 Nouvelle CXXIV. – Comment un Ecossais fut guary du mal de ventre au moyen que luy donna son hostesse, p. 372 Nouvelle CXXV. – Des epitaphes de l’Aretin, surnommé Divin, et de son amie Magdaleine, p. 374 Nouvelle CXXVI. – De la harengue qu’entreprint de faire un jeune homme en sa reception de conseiller, et comment il fut rembarré, p. 377 Nouvelle CXXVII. – D’un chevalier aagé qui feit sortir les grillons de la teste de sa femme par une saignée, et laquelle auparavant il ne pouvoit tenir soubz bride qu’elle ne luy feist souvent des traitz trop gaillards et brusques, p. 381 Nouvelle CXXVIII. – De deux jouvenceaux sienois amoureux de deux damoyselles espagnolles, l’un desquelz se presenta au danger pour faire planchette à la jouissance de son amy, ce qui luy tourna à grand contentement et plaisir, p. 387 Nouvelle CXXIX. – D’un jeune fille surnommée Peau-d’Asne, et comment elle fut mariée par le moyen que luy donnèrent les petitz formiz, p. 392 Diverses leçons, p. 395