MECANISME D'HORLOGERIE

Socle rectangulaire en fonte peinte en noire avec les petits côtés ouvragés, ajourés, à l'intérieur peint en doré et vissés au châssis. Le mécanisme en métal est fixé sur le socle et est en trois parties. Distribution symétrique: deux parties identiques sur les côtés avec plusieurs types de rouages, d'engrenages et de cylindres fixés sur le socle. Sur les deux grandes traverses, des pièces en formes de volutes, en fonte noire et dorée sont fixées. Elles sont reliées entre elles par des traverses supérieures transversales. Un gros cylindre de chaque côté en fonte jaune, actionne des rouages de plusieurs types: de transmission, distributeurs constituant de chaque côté un sustème indépendant relié au mécanisme central par un bras en métal de part et d'autre de l'horloge placée au centre d'une des face de la partie centrale. Tout les rouages sont reliés entre eux par des tiges fixes. La partie centrale présente le même type de pièces plus ouvragées et plus hautes que sur les côtés. Du côté opposé à l'horloge, on trouve son balancier en bronze avec manche en bois peint en noir actionnant le mécanisme central à plusieurs rouages verticaux et horizontaux surmontés par une traverse comportant deux éléments saillants, avec deux vis sur l'in et une forme tronconique vissée sur l'autre. De part et d'autre du balancier des tiges plates ondulées sont terminées par des vis à ailettes. Le mécanisme central est relié à un rouage autour duquel s'enroule une corde métallique reliée à une poulie sur laquelle est suspendue un poids accroché à une tige métallique terminée par un crochet. Un autre poids a été trouvé avec l'objet de même qu'une manivelle en métal avec manche en bois tourné. Celle-ci permettait de remonter les trois mécanismes. Le mécanisme d'horlogerie était relié à trois carillons (.5.1-3) fixés en partie supérieure du châssis (.7).