Le Procès du siècle se tient chaque lundi soir à l’auditorium du Mucem.
 
Cet espace de délibérations citoyennes propose d’interroger les changements du monde qui vient et de mettre en procès les excès de nos sociétés contemporaines pour envisager l’intérêt d’évolutions, voire de révolutions.
 
Cela commence par un objet issu des collections du Mucem ; un objet qui nous inspire et nous invite à débattre, à converser et pourquoi pas à rire, autour de nos vies bouleversées.
 
Deux grands invités confrontent ensuite leurs points de vue, leurs expertises et leurs expériences. Gestes artistiques et focus scientifiques viennent ponctuer, éclairer ou conclure leurs échanges.
 
Il sera question de nous, de nos intimités, de nos relations, de ce qui nous entoure et de l’usage que nous faisons du monde. Comment parler des bouleversements récents qui touchent nos vies, nos sociétés, notre environnement ? Que disent-ils de notre rapport au temps et à l’espace ? Comment nous (re)situons-nous aujourd’hui au cœur du monde et du vivant ? Quelles mutations, quelles révolutions sont à espérer ou à craindre ?
 
Le Procès du siècle appelle à la barre plaignants, accusés, témoins et avocats. Il en appelle avant tout à ses jurés, les citoyens.  

Avec Hélia Paukner (Mucem) et Pascal Chabot (philosophe)

Modération : Lionel Bordeaux (créatif militant, entrepreneur)

En partenariat avec : Libération, Magma et RFI 

Avec le soutien des amis du Mucem

Lionel Bordeaux

Lionel Bordeaux a passé 20 ans dans le monde politique français comme conseiller en communication (Matignon, ministère de la Ville, mairie de Paris). Il fut ensuite Secrétaire général adjoint de la Cop21 en charge de la communication et des partenariats. Depuis, l’environnement est devenu le fil conducteur de son activité professionnelle, et il a par exemple apporté son aide à la défence des espaces naturels dans le monde (barrière de corail en Australie, Wood Buffalo National Park au Canada..). Il mène en ce moment un projet de fabrication d’un ballon de foot sans plastique ni cuir animal afin d’en faire le ballon de la coupe du monde au Qatar en 2022.